en route vers le sublime

trucs et machin

Bon, je ne suis pas experte, et puis je ne vais pas remettre toutes les astuces qui ont déjà été dites sur les autres blogs.

Déjà, je ne me fais pas vomir, tout d'abord parce que je déteste ça, et puis parce que je si je le fais une fois, je sais que je le ferai tout le temps. Pourtant, des fois c'est pas l'envie qui m'en manque hein...

Parce que je crise pas mal, souvent lorsque je suis invitée au rest ou chez des amis.

Ce que je fais c'est déjà me dire "bon, tu as craqué, ca ne sert plus à rien de te culpabiliser", bah oui, parce que culpabiliser ça fait grossir! Ce qu'il faut c'est stopper la machine, le lendemain être hyper raisonnable, et ne pas tomber dans la machine infernale, la bouffe appelle la bouffe, c'est très dur de résister et de recommencer à manger peu et bien.

Quand je peux, je vais faire un tour après, le soir (c'est là qu'on craque souvent), je marche vite, jusqu'à suer, je me dis "allez, bouge toi, tu sens que tu élimines", ou j'essaye de squatter à une soirée pour me coucher bien tard et avoir le temps de me dépenser. Les nuits blanches c'est mauvais pour la santé, mais bon pour le régime!

Tous les jours je marche ou je fais du roller, à fond. Je bois beaucoup d'eau.

Puis je me fais plaisir: maquillage, crème, vêtements. je suis complètement fauchée mais bon, moins j'ai de sous, plus j'en dépense.

des fois je dis que j'ai déjà mangé (c'est plus facile quand on habite seule... mais ce n'est pas mon cas, et ma mamie surveille ce que je mange...), ou alors je vais à une soirée en disant qu'on mange là bas et j'y vais le ventre vide. Ou bien j'en profite pour manger toute seule, dans ma chambre, et je jette quelques trucs à la poubelle (pas bien! j'évite au max de faire ça!).

De toute manière je ne me prive pas à outrance, comme vous le verrez dans mon carnet alimentaire, j'essaye de manger beaucoup de légumes, c'est mieux que de rien bouffer, et de craquer 2 jours après.

J'aimerais bien jeuner, mais je peux pas trop, et j'ai peur de craquer après (c'est là que ça fait mal!).